Voeux
L'APNGR VOUS SOUHAITE
UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE
ET VOUS PRESENT TOUT SES VOEUX DE BONHEUR
ET DE SANTE POUR L'ANNEE 2018
L'APNGR VOUS SOUHAITE
UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE
ET VOUS PRESENT TOUT SES VOEUX DE BONHEUR
ET DE SANTE POUR L'ANNEE 2018
Le dernier épisode de la guerre d'Algérie a lieu à Oran le 5 juillet 1962, le jour même de la proclamation officielle de l'indépendance algérienne et deux jours après son indépendance effective.Cette grande ville de la côte occidentale (400 000 habitants) était la seule à majorité européenne pendant la période coloniale. De nombreux pieds-noirs y étaient encore présents au lendemain de l'indépendance. D'autres, fuyant le bled (la campagne), s'y étaient installés dans l'attente d'un hypothétique exode.
Du 1er juillet, date du vote de l’indépendance, jusqu’au 4, il n’y a en ville que quelques défilés de voitures surchargées de musulmans, hommes et femmes hurlant des slogans et des you-you, plutôt bon enfant… Le 5 juillet 1962, la radio donne l'ordre aux habitants d’ouvrir les magasins, les bureaux et de reprendre le travail.
Mais dès le matin, une foule déferle des quartiers arabes vers les quartiers européens, de la place Kargentah vers la Place d’Armes, « pour un défilé pacifique ». La plupart des manifestants n'en sont pas moins armés.
À 11 heures, un coup de feu retentit sur la place d’Armes, un signal sans doute. Des cris jaillissent : « L’OAS, c’est l’OAS qui nous tire dessus ! » Assertion invraisemblable car nul, même au sein de l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète), n'aurait été assez fou pour provoquer ainsi une foule déjà surexcitée.
C'est le début d'un carnage : une chasse à l’Européen commence, sauvage, systématique, dans toute la ville.
Les auxiliaires de l'armée algérienne, les ATO, emmènent les Européens prisonniers par longs cortèges vers le commissariat central où ils sont battus et tués, ou vers le Petit Lac, ou vers la Ville Nouvelle. Pourtant, dans cette folie sanguinaire, des musulmans sauvent des Européens, d’autres font délivrer des prisonniers.
Le général Joseph Katz, qui commande les 18 000 soldats français encore à Oran, survole la ville à plusieurs reprises. Il téléphone au président Charles de Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre et demander l'autorisation d'intervenir. « Surtout, ne bougez pas ! » lui est-il répondu. Les soldats restent donc dans les casernes.
La tuerie dure près de six heures. Lorsque, à 17 heures, les gendarmes français sortent enfin dans la rue, le calme revient aussitôt. Les cadavres jonchent la ville, on en trouve pendus aux crocs des bouchers, dans des poubelles...
Le drame d'Oran va accélérer l'exode des pieds-noirs vers la métropole et mettre fin à l'espoir d'une cohabitation entre anciens colons et musulmans dans l'Algérie indépendante.
Recueillement pour le Massacre du 5 Juillet 1962 à Oran
Marcel Aguilar Président de l'Association des Pieds Noirs du Grau du Roi, a relaté les faits de cette journée meurtrière.
Le chant des Africains a été entonné après un moment de recueillement.
e dimanche 2 juillet 2017 l'Association des Pieds Noirs du Grau du Roi s'est rendue au domaine Beauregard pour partager une journée exceptionnelle avec les Harkis Pieds-Noirs et Amis. Cette manifestation restera dans nos coeurs inouliable, à la renconte de nos racines...
Merçi à Monsieur Kader Guelfout, Président de l'ARAPA Arles, organisateur de cette journée.
sur l'une des photos, Marcel Aguilar président de l'Association des Pieds Noirs du Grau
avec un ancien militaire harki
Le 1 Octobre 2016 à 17h30
La présidente Mme Galy de l'Amicale
de DJIDJELLI et sa région
vous invite à assister au dépôt de gerbes
au mémoriale des pieds noirs d'AFN
au Grau du Roi
derriere le cimetière du Boucanet